J'allais enfin me retrouver seul à la maison pendant une longue semaine durant laquelle ni mes parents, ni ma sœur, ne pourraient venir troubler ma tranquillité ni mes jeux autour de ma féminisation.

Une onde d'excitation naissante me faisait déjà palpiter le bas ventre. J'avais eu quelques attouchements éphémères avec des copines mais la majeure partie de mon activité sexuelle se résumait à la masturbation. Je la pratiquais abondamment, que ce soit en lisant des revues pornographiques, en regardant des films X ou en fantasmant sur pleins de choses inconnues et excitantes.

Depuis quelques temps, une petite perversion monopolisait mes fantasmes les plus torrides. Je m'étais découvert une attirance pour la lingerie. Sa douceur m'électrisait et j'adorais me répandre dans des bas ou des collants en fantasmant sur des queues m'arrosant de sperme. Je me fournissais dans le panier à linge sale de ma sœur. A 24 ans, j'avais découvert qu'elle possédait quelques pièces très sexy, la coquine.

Lors de ce premier matin de calme, après une bonne douche, je me rendais, nu, dans la chambre de ma sœur. J'étais décidé à prendre des affaires propres, d'où émanait un délicat parfum d'assouplissant, et de ne plus me contenter du linge sale. Pour la première fois, j'ouvrais émerveillé son placard. Que de dentelles et de féminité s'exposaient devant moi si impudiquement.

Mon sexe commençait déjà à se gonfler quand, fébrile, je touchais, tâtais ces textures afin de choisir ma parure. J'optais pour des bas autofixants noirs et un string en dentelle de la même couleur. J'enfilais le tout soigneusement et refermais le placard pour me contempler dans le miroir.

Avec 1m74, j'étais plutôt fin et efféminé et je pouvais aisément porter les tenues de ma sœur. Châtain clair, les yeux bleus, j'étais imberbe mis à part mon pubis et ma peau dorée ressortait joliment avec cette belle lingerie. Je me sentais femme et chienne. Je ne sais pas pourquoi mais j'avais envie qu'on m'appelle Carole. Et je pense que je devins Elle.

Je me trouvais provocante et excitante et j'avais une folle envie de me masturber. Mais je voulais me retenir, je voulais aller au-delà. J'en avais marre de ne connaître que cette jouissance trop courte immédiatement suivie d'une sourde frustration de ne pas être allée au bout de mes envies.

Je réfléchissais intensément. Qui pourrais-je rencontrer ? Et comment ?

J'étais en pleine cogitation quand la sonnette retentit. Un grand vide se fit en moi et la panique commença à me gagner. Qui pouvait bien sonner ? Qu'est-ce que j'allais faire dans cette tenue ? Le deuxième tintement retentissait déjà, résonnant dans mon esprit comme une sirène d'alarme, me paralysant.

Machinalement, j'enfilais un peignoir de bain et des chaussons sans vraiment me rendre compte que mes chevilles et une partie de mes mollets, gainés du noir des bas, étaient très visibles.

J'entrouvrais la porte, me servant de celle-ci comme d'un paravent. Seule ma tête apparu pour découvrir qui était l'intrus. Malheur, c'était André, un ami de mon père, qui devait effectivement passer pour récupérer son caméscope. Je l'avais totalement oublié. A 42 ans, André était encore athlétique et svelte. Il était féru de tennis et le pratiquait encore à un très bon niveau. Bronzé, dents éclatantes, yeux bleus perçants et cheveux bruns nettement taillés, il avait tout du play-boy de la Côte d'Azur. Sa femme, Alice, me faisait de l'effet et je l'enviais souvent dans mes rêves tourmentés.

• Salut, André...

Mon sourire, un peu f o r c é, allait de paire avec le léger tremblement de ma voix.

• Euh... Je peux entrer ou je dérange ? plaisanta-t-il.

Je l'avais en effet laissé planté devant la porte sans l'inviter à entrer.

• Non, non, entre je t'en prie. Je suis un peu dans la lune aujourd'hui.

Je m'effaçais derrière la porte pour qu'il puisse pénétrer dans la demeure familiale. Sans se retourner, il entra dans le salon et s'installa dans le canapé non sans avoir récupéré son caméscope en passant dans le couloir.

• Dis-donc, me héla-t-il, il est midi. C'est l'heure de l'apéro, non ?

• Si tu le dis... Qu'est-ce que tu veux ?

J'étais toujours dans le hall. J'entrais prudemment, restant derrière un fauteuil. Je me demandais comment j'allais me tirer de cette situation pour le moins épineuse.

• Un Whisky s'il te plait.

J'étais vraiment coincé. Je me lançais, traversais le salon sans le regarder. J'ouvris le bar, sortis deux verres et servis les whiskys. Je me retournais enfin. Est-ce que j'étais parano ou son regard avait réellement changé ? Avait-il vu que je portais des bas ? Je n'en savais rien mais c'était le moment de me sortir de ce mauvais pas.

• Je reviens. Je vais aller m'habiller.

• Trinque avec moi quand même, me dit-il. Viens t'asseoir.

Crispé, les jambes serrées, je m'asseyais. Après avoir trinqué, je buvais quelques gorgées qui me réchauffaient. Il me racontait des banalités et mon esprit ne pouvait s'empêcher de vagabonder. Le whisky, auquel j'étais peu habitué, me poussait aux douces divagations mentales. Je redevenais progressivement Carole et je m'excitais d'être assise à côté d'un si bel homme.

Un blanc qui s'éternisait dans la conversation me fit revenir sur terre. Je regardais André les yeux interrogateurs.

• Tu ne veux pas me répondre ? dit-il.

• Euh... Si, si.

• Alors, vas-y !!

• Oui... Redis moi ta question, bafouillai-je pitoyablement.

Il me regardait amusé.

• Tu portes souvent des bas ?

• Je,... Je ne vois pas...

• Allons, ne me prends pas pour un con.

Joignant le geste à la parole, il ouvrit d'un coup sec mon peignoir. J'apparus alors, en string et Dim-Ups noirs. Je ne bougeais plus, ne sachant que faire. J'avais détourné le regard. Ce qui me surprend, avec le recul, c'est que je n'ai fait aucun mouvement pour remettre mon peignoir en place. Au milieu de la brume dans laquelle j'étais, je l'entendais m'appeler. Je me retournai enfin.

Le salaud : il était en train de me filmer avec son caméscope. Il l'arrêta aussitôt.

• Voilà quelques secondes si embarrassantes immortalisées sur la pellicule, rit-il en me faisant un clin d'œil. Ne m'en veux pas, tu es si mignonne.

• Ecoute, c'est par jeu et...

• Justement, on va pouvoir jouer. Il m'avait interrompu avec un sourire pervers. Si tu es sage, ces images resteront un secret.

• J'ai le choix ?

• Bien-sûr. Et dans les 2 cas, il faudra en assumer les conséquences. Soit tu viens t'asseoir à côté de moi, maintenant, et tu deviens ma pute toute cette semaine. Soit tu me demandes de quitter la maison tout de suite et... Enfin, tu verras bien.

Le choix était aussi clair que machiavélique. J'avais peur de sauter le pas, mais j'étais excitée au fond de moi-même. Et puis, s'il révélait tout à mes parents, ce serait une catastrophe, un séisme. Après une hésitation, je vins m'asseoir, haletante.

• Je pense que tu as pris la bonne décision.

Sa main commençait déjà à caresser ma cuisse à travers le bas. Il se pencha sur moi et me suçota un téton qui durcit immédiatement. Sa langue était chaude et douce et je ne pus réprimer un sursaut. Sa langue insistait et je me pris à légèrement onduler malgré moi. Sa bouche remonta et il introduisit sauvagement sa langue entre me lèvres. Je me laissais faire et il me roula un patin magistral.

Pendant qu'il me bouffait la bouche, sa main se mit à me caresser à travers le string. J'écartais les cuisses et une belle érection se développa. Il s'arrêta soudain.

• Tu aimes ça petite salope, dit-il d'une voix rauque que je ne lui connaissais pas.

J'émis un faible ouiii.

Il se leva et commença à se déshabiller en me fixant. Il fut bientôt nu. Sa queue dressée me paraissait énorme, bien plus grosse que la mienne en tout cas. Elle était épaisse et bien droite. Je me fis la réflexion qu'il aurait pu tourner dans un film X. Il approcha sa bite de mon visage. Elle m'h y p n o t i s a i t. Il m'attrapa par les cheveux et me plaqua la bouche dessus.

• Suce-moi petite garce, tu m'as mis dans un état...

Ce langage m'excitait et je gobais son gland entre mes lèvres. Enfin, je goûtais une queue. C'était assez fade, un peu salé mais plutôt agréable dans l'ensemble. Je m'enhardis et enfonçait un peu plus sa tige dans ma bouche. Je faisais comme dans les films : je faisais tourner ma langue et creusait les joues en aspirant. Ca avait l'air de lui plaire car il se mit rapidement à respirer plus bruyamment. Au fur et à mesure que je le pompais, il se mit à m'accompagner de petits mouvements de va et vient.

J'adorais et je ne pus m'empêcher de passer une main dans mon string. Quel tableau nous devions faire ! Moi, assise dans le canapé, cuisses écartées, une main dans le string. Lui debout devant moi, nu, me baisant pratiquement par la bouche.

Il vit que je me touchais et, se penchant légèrement en avant, sa main vin remplacer la mienne. Il empoigna mon sexe fermement et délicatement en même temps. Sa masturbation était divine. Je devenais comme possédée et me sentais salope. Je le pompais goulûment, faisant un bruit de succion et de salive. Je sentais sa bite gonfler follement.

A un moment, il retira tout d'un coup sa main et sa bite. Debout, juste devant mon visage, il se branla frénétiquement. Il allait m'asperger. Au comble de l'excitation, je remettais la main dans mon string, me touchant en attendant d'être aspergée. Je me sentais venir, je partais.

Et là, je sentis un jet chaud et épais m'arroser les joues et les lèvres. En un quart de seconde, je revoyais mes fantasmes de douche de sperme. Cela eu pour effet de me faire jouir aussitôt dans le string de ma sœur dans un long et divin orgasme.

Mon visage dégoulinait de sperme, mon string était trempé et collant. J'étais bien. Je m'affalais dans le canapé et ouvris les yeux. André s'était assis à mes côtés, il me regardait avec envie.

• Je sens que notre semaine va être intéressante ma chérie...

Il sourit.

QUELQUES LIEN

FORUM Trans TV Sissy féminisation Petticoat

LIRE des histoires érotiques de féminisation, sissy et travestis

VOIR des photos SANS PUB de féminisation, sissy et travestis

VOIR des vidéos SANS PUB de féminisation, sissy et travestis

BOUTIQUE avec des vêtements pour la féminisation

SANS PUB = pas de redirection vers des sites d'arnaque !